Prenez quelques minutes ce matin pour écouter un morceau intitulé « Fish Market » de Steely & Clevie. Le rythme… vous rappelle quelque chose ?
Une bataille judiciaire pourrait décider si la réponse à cette question est « toute la musique reggaeton ».
Variety a rapporté qu’un juge fédéral américain avait rejeté une requête visant à rejeter une action en justice pour droits d’auteur intentée par la succession du duo de production jamaïcain Cleveland ‘Clevie’ Browne et Wycliffe ‘Steely’ Johnson.
Il prétend qu’un large éventail d’artistes reggaeton – y compris Bad Bunny et Daddy Yankee – ont violé le motif de batterie de « Fish Market ».
Ce qui, si vous avez besoin d’une description textuelle, est : « une grosse caisse, une caisse claire et un charleston programmés jouant un motif d’une mesure ; des instruments de percussion, dont un tambourin jouant sur toute la mesure, un « tom » synthétisé jouant sur les temps un et trois, et des timbales qui jouent un roulement à la fin d’une mesure sur deux et une improvisation libre sur le motif pendant toute la durée de la chanson ; et une note de basse synthétisée en Sib (si bémol) sur les temps un et trois de chaque mesure, qui suit le motif « tom » synthétisé susmentionné ».
L’affaire va maintenant entrer dans sa phase de découverte.